Choisir le sexe de son enfant : les méthodes les plus populaires

De nombreux couples tenteraient chaque année de donner un coup de pouce à la nature pour avoir une fille ou un garçon. Ce qui n’est pas toujours facile. En effet, mis à part le DPI, l’efficacité de certaines méthodes n’a jamais été prouvée scientifiquement. Mais cette intervention chirurgicale est encore illégale en France. Toutefois, les études confirment que les aliments consommés avant et pendant la grossesse peuvent influer sur le futur sexe de l’enfant.

Les méthodes les plus connues : risquées et absurdes

Choisir le sexe de son futur bébé n’est pas aussi simple. En effet, il faut faire en sorte qu’un seul spermatozoïde rencontre l’ovule. C’est la nature du chromosome dans le gamète mâle (X ou Y) qui va alors déterminer le sexe de l’enfant au moment de la fécondation. Si aucune intervention n’est réalisée, les chances d’avoir une fille ou un garçon sont de 50%. Jusqu’ici, la seule méthode scientifique 100% fiable pour procéder à la sélection des genres est de faire un diagnostic préimplantatoire. C’est une technique interdite en France, sauf pour des cas spécifiques destinés à préserver la santé du bébé. En effet, le DPI est risqué et extrêmement dévastateur pour le corps de la femme. De plus, cette intervention coûte cher.

Toujours dans le but d’influer sur le sexe de leur futur enfant, certains couples suivent à la lettre des conseils vus sur internet. Parmi eux, on compte la théorie de Roberte ou encore la formule de Noug.

Modifier le régime alimentaire

D’après les spécialistes, notamment constitués de gynécologues, la nourriture que mange une femme avant la fécondation et tout au long de la grossesse est particulièrement efficace pour avoir le sexe de l’enfant désiré. Il faut cependant, respecter les formules à la lettre.

Pour tomber enceinte d’une fille, il est conseillé de privilégier les aliments riches en calcium et magnésium. En résumé, les produits laitiers sont les bienvenus. Les médecins recommandent également de suivre un régime faible en potassium et en sodium. À l’inverse, pour avoir un petit garçon, les laitages sont à proscrire. On doit en revanche consommer quotidiennement des aliments riches en fer et en protéines comme les charcuteries, les viandes et les poissons. Il faut aussi boire régulièrement du jus de fruits pour avoir un bon apport en sucre. Pour avoir une liste complète des aliments pour influencer le sexe du futur bébé, il convient de s’adresser à des spécialistes.